Cher Jean-Paul Beugnot, je n’oublierai jamais ta gentillesse et le travail sérieux auquel tu t’es consacré pour donner les plus <Belles Lettres de Noblesse> au basket français mais, surtout, pour moi, tes encouragements lorsque nous partagions les matchs d’entraînements de l’Étoile de Charleville, cours des années 1960, salle du Bois-Crancé.
Tu étais toujours le premier arrivé et reparti le dernier. J’étais alors junior surclassé et tu ne manquais jamais de confier à mes amis que je serais certainement ton futur remplaçant, ce qui m’a toujours fait chaud au cœur.
Je puis te dire combien tu me manques comme copain d’alors, mais sois assuré que je ne t’oublie pas et que je parle souvent de toi avec nostalgie et d’amitié sincère.
Cher Jean-Paul, repose en paix au paradis des basketteurs où je serais ravi, tu l’imagines, de te retrouver, un jour, afin d’y fêter toutes nos souvenirs. J’apporterai un ballon tout neuf, un de ceux que tu n’as pas connu à l’époque.
Cher Jean-Paul Beugnot, je n’oublierai jamais ta gentillesse et le travail sérieux auquel tu t’es consacré pour donner les plus <Belles Lettres de Noblesse> au basket français mais, surtout, pour moi, tes encouragements lorsque nous partagions les matchs d’entraînements de l’Étoile de Charleville, cours des années 1960, salle du Bois-Crancé.
Tu étais toujours le premier arrivé et reparti le dernier. J’étais alors junior surclassé et tu ne manquais jamais de confier à mes amis que je serais certainement ton futur remplaçant, ce qui m’a toujours fait chaud au cœur.
Je puis te dire combien tu me manques comme copain d’alors, mais sois assuré que je ne t’oublie pas et que je parle souvent de toi avec nostalgie et d’amitié sincère.
Cher Jean-Paul, repose en paix au paradis des basketteurs où je serais ravi, tu l’imagines, de te retrouver, un jour, afin d’y fêter toutes nos souvenirs. J’apporterai un ballon tout neuf, un de ceux que tu n’as pas connu à l’époque.
Ton copain pour toujours, Jean-Michel Ligeron
Aiglemont (Ardennes), le 5 octobre 2025.
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