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White Chocolate, le réincarnation du showtime version Kings

Franchise History

Délivrant un basket chatoyant. Se découvrant outre Chris Webber, une ribambelle de joueurs se partagent le même goût de l’esthétique sur le parquet. La même rage de ne plus être la risée de la cour. Symbole de ce bain de jouvence : le meneur rookie, Jason Williams.

Un cas. Viré à trois reprises de la fac, ancien drogué, catalogué de joueur à risques par les scouts de la Ligue. Jason Williams, 1m85, 13 points, 6 passes décisives, est devenu la réincarnation du showtime version Kings. Sa panoplie de gestes est si impressionnante qu’on finira, un soir de démonstration, par croire que le basket est véritablement un sport de funambule. Lors de son premier match contre les Lakers, il aligne 11 passes décisives et une seule balle dans le décor. Ce n’est que le début d’un récital en cinquante acte. Il fait des passes à une main, deux mains, dans le dos, sur le côté, déclenche des alley-oops depuis son panier, dribble dans le dos, et réussit même, lors d’un fabuleuse action, à faire une passe à lui même.

Un phénomène qui se trouvera un surnom de star : White Chocolate. Avec Jason aux manettes, la troupe de Rick Adelman franchit la barre des 54% de victoires (27 victoires – 23 défaites), se loge à la première attaque de la Ligue en étant la seule franchise à franchir la barre des 100 points.

LE SHOWTIME VERSION WHITE CHOCOLATE

Crédits photo : NBAE/Sports Illustrated

About Patrick Parizot (771 Articles)
Fondateur et rédacteur en chef de Basket Retro. Grand passionné de la balle orange et surtout adepte du basket en tout genre. Apprécie particulièrement le basket vintage et notamment celui des années 70.

3 Comments on White Chocolate, le réincarnation du showtime version Kings

  1. « Quinze ans que les Kings n’avaient pas aperçu la moindre lueur des playoffs », soit j’ai pas compris, mais Sacramento avait connu les playoffs contre Seattle en 1996.

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    • Oui en effet ! Grosse erreur de ma part et je m’en excuse. A cette époque là les Kings n’ont connu qu’une seule participation en playoffs en 12 ans Et ce fut en 1996 !

      Un grand merci pour cette remarque pertinente

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  2. J’adore son surnom :p

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