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ITW Mary Patrux – Part 1 : « Journaliste sportive ? Un moyen de rester dans un milieu qui m’épanouit »

Interview

Les lecteurs de Basket Rétro ont pu lire l’interview de Mary Patrux publié en deux parties au mois de février 2014. Plus d’un an après, la journaliste sportive de BeIn Sports nous a accordés un nouvel entretien au sein des locaux de la chaîne, le 7 mai dernier pendant 35 minutes. Dans cette première partie, nous avons abordé ensemble son ancienne vie de basketteuse, sa carrière de journaliste ainsi que sa rencontre avec Tony Parker il y a plus d’un mois à San Antonio. 

Mary Patrux avec le ballon (c) Panoramic

Mary Patrux avec le ballon (c) Panoramic

Basket Rétro : En février 2014, lors de notre première interview, vous m’aviez dit que vous jouiez au poste d’ailière shooteuse à Franconville dans le 95 pendant 20 ans. Mais comment vous définir autrement sur le terrain ? Etiez-vous aussi une rebondeuse, une bonne défenseuse, une passeuse, quelqu’un qui faisait du trashtalk ?

Mary Patrux : Mettre de points, c’était un peu mon travail dans cette équipe. Je pense que j’étais la personne qui parlait le plus sur le terrain. Pas toujours en bien (rires). On était une équipe de filles. On s’est connu. On était poussines. Aucune des filles n’a quitté ce club pour aller ailleurs. On est toutes resté ensemble car on était vraiment très lié. Je ne sais pas si chacune avait un rôle. C’était vraiment une histoire de groupe.

BR : Avez-vous envisagé de faire une carrière professionnelle dans le basket ?

MP : A un moment donné, il a été question que j’intègre l’INSEP ou un centre de formation. A mon époque ça n’était pas aussi développé que ça ne l’est aujourd’hui avec les pôles. Mes parents n’avaient vraiment pas étudié cette possibilité. Je devais me concentrer sur mes études. Le basket devait rester une partie de ma vie. Et ca l’a été très longtemps. Quand on s’entraîne trois fois par semaine avec un match le weekend, c’est un rythme de vie. Et surtout quand on va à la fac à Paris, qu’on est banlieusarde. C’est une véritable organisation. C’est comme ça que ça m’a donné envie de rester dans le sport. Je voulais rester dans le basket mais plus globalement dans le sport, c’est à-dire devenir journaliste dans le sport. C’était un moyen de rester dans ce milieu dans lequel je m’épanouissais totalement.

PB Basket Club Franconville logoBR : Et pourquoi vous avez choisi particulièrement ce club de Franconville ? Vous habitiez là-bas ?

MP : Moi j’habitais à Cergy-Pontoise. J’ai commencé poussine à Eragny sur Oise. En benjamines, il y a les détections pour les sélections départementales. C’est là que j’ai rencontré toutes mes copines. Et elles venaient toutes du club de Franconville. J’étais la seule à ne pas être de ce club à intégrer la sélection du Val d’Oise en présence de toutes ces filles de Franconville. Au bout d’un moment, même petite, on a besoin de s’amuser avec des filles qui ont vraiment le même niveau que nous. Si on veut progresser, il faut aller dans les équipes les plus fortes. Franconville était vraiment le club du département et de la région qui formait les filles. Je suis donc allé là-bas.

BR : Au sein de ce club, quel est votre meilleur souvenir en tant que joueuse ?

MP : J’en ai vécu tellement des choses.

BR : Celui qui ressort peut-être le plus ?

MP : Oui, j’ai vécu des finales de championnat de France en minimes avec toutes mes copines. C’était fou. On était à Voiron, je sais plus, très loin de la banlieue parisienne. On avait gagné notre demi-finale. Après avec la sélection Ile-de-France, on a joué contre les Etats-Unis. On a vécu pleines choses assez folles. Par exemple, on gagne un match d’un point pour rester en course pour une montée. Je n’aurais pas un souvenir précis. C’est toutes les années, toutes les étapes qu’on a passées ensemble avec ces filles. On a toutes grandi ensemble.

BR : Avez-vous un mauvais souvenir, un pire déplacement que vous ayez fait avec cette équipe ?

MP : Mon pire souvenir, je crois que c’est avec la sélection Ile-de-France, on perd face à la sélection du Nord une finale de zone Nord. Quand on est jeune, la compétition est découpée en zones. Et après c’est une finale de championnat de France. On perd ce match d’un rien alors qu’on était invincible. On a vraiment eu du mal à digérer cette défaite.

BR : Y a-t-il des joueurs ou des joueuses de basket qui vous ont donné justement cette envie d’en faire ?

MP : Je viens d’une famille de basketteur. Mon grand-père jouait. Mon père a joué longtemps. J’ai grandi à l’époque où Limoges a gagné la Coupe d’Europe. C’est sûr que cette période m’a beaucoup marqué. J’étais fan de Stéphane Ostrowski. Il était venu faire une clinique dans ma petite ville. Il fallait absolument que je rate l’école pour voir ce truc. J’avais 12 ans. J’étais dingue de ce joueur. J’adorais Yann Bonato, Antoine Rigaudeau. J’étais très basket européen plus jeune. Au fur et à mesure, mon père m’a emmené aussi Porte de Saint-Cloud, au stade Géo André, voir Michael Jordan. C’était une de ses premières fois où il venait à Paris. Personne n’avait anticipé la folie que ça allait être. J’ai fait à peu près tous les rendez-vous à Bercy quand les équipes américaines venaient. Je suis un peu à l’ancienne.

Au sujet de faire une carrière pro de basket : « Il a été question que j’intègre l’INSEP ou un centre de formation. A mon époque ça n’était pas aussi développé que ça ne l’est aujourd’hui avec les pôles. Mes parents n’avaient vraiment pas étudié cette possibilité. Je devais me concentrer sur mes études. Le basket devait rester une partie de ma vie. Et ca l’a été très longtemps. Quand on s’entraîne trois fois par semaine avec un match le weekend, c’est un rythme de vie. Et surtout quand on va à la fac à Paris, qu’on est banlieusarde. C’est une véritable organisation. C’est comme ça que ça m’a donné envie de rester dans le sport. Je voulais rester dans le basket mais plus globalement dans le sport, c’est à-dire devenir journaliste dans le sport. C’était un moyen de rester dans ce milieu dans lequel je m’épanouissais totalement. »

BR : On vous connaît basketteuse. Vous êtes journaliste depuis un bon moment.

MP : Oui depuis 10 ans (rires).

BR : Vous êtes diplômé de l’IPJ. Vous êtes passé à Eurosport, l’Equipe 21, et officiez actuellement à BeIn Sports. A quel moment aviez-vous cet objectif de devenir journaliste de sport à la télé ?

MP : Comme je vous l’ai dit, quand il a été question que j’aille plus loin dans le basket ou pas. Et cela ne s‘est pas fait. C’était la période où au lycée, il faut choisir nos orientations. Et j’ai choisi ce métier de journaliste sans vraiment le connaître. C’est juste par rapport au rapprochement avec le sport. Je n’avais pas envie d’être prof de sport. Tout le monde était prof de sport dans les équipes de basket. Et je ne sais pas. Peut-être que j’avais envie de toucher le haut niveau du basket que je n’ai jamais touché finalement. Le journalisme était vraiment un moyen de côtoyer ce que je n’aurais jamais connu en tant qu’actrice de ce sport là. Mon rêve était aussi de voir l’athlétisme aux Jeux Olympiques car on a regardé courir Marie-José Perec. J’ai regardé tous les Jeux avec mes parents. Il fallait que je voie ça en vrai.

BR : Est-ce que vous avez un modèle dans le milieu du journalisme qui vous a donné envie de faire ce métier ?

MP : Ce qui m’inspire dans ce milieu là, c’est l’authenticité que j’ai toujours aimé. J’adore un mec comme David Cozette quand il part dans ses délires et commente un match. C’est très sincère et vrai. Des modèles pas spécialement. Ce que j’aime, c’est le naturel et l’authenticité. Faut pas en faire des caisses. On fait un métier où on parle de choses sympas.

BR : Je vais passer à une première photo à vous montrer. Vous allez rebondir dessus. (ndlr : il s’agit d’une photo de Charles Biétry. Voir ci-dessous).

Charles Bietry

MP : Oui j’ai très peur.

BR : Vous connaissez cette personne je suppose.

MP : Oui. Je connais très très bien cette personne. C’est Monsieur Charles Biétry.

BR : Exactement, si je me trompe pas c’est lui qui vous repère pour intégrer l’Equipe TV.

MP : La vraie histoire, c’est moi qui l’appelle.

BR : Pouvez-vous me raconter le lien qui vous unit à Charles Biétry en détails ?

MP : C’est une époque où je cherche du travail. J’appelle Charles Biétry qui me dit « vous avez un DVD qui est prêt ? ». J’en avais un. Je l’ai rencontré dans l’après-midi. Et nous nous sommes plus quittés si puis-je dire. C’était le début d’une relation de travail. On se comprend très bien dans le travail. C’est un homme qui m’a énormément appris et m’a permis de passer un cap. J’ai appris tellement de choses à ses côtés dans la manière d’aborder, d’inventer, de créer. C’est quelqu’un de très important dans ma vie professionnelle.

BR : Et c’est Charles Biétry qui vous contacte ensuite pour l’aventure à BeIn.

MP : Oui en revanche, là c’est lui qui m’appelle (rires).

BR : Il vous demande de faire un DVD, donc une maquette dans l’optique d’une embauche à l’Equipe TV ?

MP : Quand on cherche du travail dans notre milieu, on fait un DVD, un best-of. Comme c’était une période où on cherche du travail, mon DVD était tout prêt. Il a voulu me mettre la pression en me disant «  votre DVD est prêt ?, vous venez me voir maintenant ». Je lui ai amené. Il a regardé. Il m’a dit « c’est très bien. Vous pouvez commencer quand ? ». J’aurais jamais pu imaginer que ça puisse m’arriver un jour un truc comme ça. C’est une super rencontre. On s’entend super bien.

BR : Vous avez appelé à l’Equipe pour contacter Charles Biétry ?

MP : Non j’ai appelé des amis à moi qui ont le numéro de Charles Biétry. J’ai mon mari qui m’a dit « faut que j’y aille ». J’avais le numéro. Il me dit « Vas-y appelle-le ». Moi : « Mais non j’oserais jamais. Lui : « Mais si ». Puis j’ai osé. (sourire).

BR : Je passe à une autre photo (ndlr : il s’agit de 4 photos de Mary Patrux sur sa carrière de journaliste – une à Eurosport, une à l’Equipe TV, deux à BeIn Sports. Voir ci-dessous).

MP : Ca c’est moi.

BR : Vous en êtes sur ?

MP : Oui c’est moi (sourire).

BR : Il y a donc une photo où on vous voit à l’époque d’Eurosport, une autre à l’Equipe, et deux récentes à BeIn Sports. Quel regard portez-vous sur l’évolution de votre carrière en tant que journaliste sportive à la télé et plus spécifiquement dans le basket sachant que vous avez couvert d’autres sports ?

MP : Ce qui est marrant, c’est que j’ai fait ce métier pour parler de basket et que j’en parle dix ans après. J’ai commencé par parler de sports d’hiver. Et c’est ce que je maîtrisais le moins. Et j’ai adoré ça. Finalement me plonger dans ce milieu-là, ca m’a fait du bien. Mine de rien, l’école Eurosport nous apprend à toucher à tout, ànous habituer à tout. J’ai fait ensuite une émission dans laquelle je me suis bien retrouvée et dans laquelle j’étais très heureuse : le Forum l’Equipe. Il y avait un invité par semaine. Et là on peut dire que c’est l’épanouissement dans cette émission. Puis à BeIn, on passe d’un niveau. C’est les retrouvailles avec le basket que je n’avais jamais vraiment côtoyé finalement. Jamais je n’aurais pensé un jour travailler avec Jacques Monclar (rires).

BR : Ya t-il des projets que vous n’avez pas encore réalisés dans le journalisme sportif ? Ceux dont vous rêvez de concrétiser ?

MP : Y a pleins de choses que je n’ai pas faites : aller sur un championnat d’Europe ou une Coupe du monde de basket par exemple. Je suis allé aux Jeux où j’ai vu des matchs de basket. Mais je n’y étais pas pour travailler. Aller aussi sur place pour les Finales NBA et de sortir un peu du bâtiment. Mais mon objectif suprême, c’était d’aller aux Jeux. J’y suis allé. On va essayer d’y retourner. Il y a cette envie d’aller sur un Grand Chelem de tennis aussi.

BR : Vous ne voulez donc pas faire que du basket.

MP : Oui je suis allé aussi au championnat du monde de handball. J’aspire vraiment à conserver cette culture omnisports que j’adore.

BR : Beaucoup de filles ont cette ambition de devenir journaliste sportive comme vous. Quels conseils leur donneriez-vous pour qu’elles y parviennent au même titre que les garçons car on sait que c’est un milieu très fermé ?

MP : Rien n’est gagné. Jamais. Le plus dur, ce n’est pas d’avoir un taf, c’est de le garder. La durée, c’est plus dur. Je pense qu’il faut être passionné dans ce qu’on fait pour bien le faire et être rigoureux aussi. Et aimer le travail en équipe. Tout seul, on ne peut pas y arriver. Pour les filles, faut pas qu’elles soient différentes car ce sont des filles. Faut pas se dire que les filles subissent un traitement différent. Mais c’est partout pareil. Dans tous les boulots, c’est la même chose. Je pense que comme dans la vie en général, l’authenticité paie.

Sur l’évolution de sa carrière de journaliste : « Ce qui est marrant, c’est que j’ai fait ce métier pour parler de basket et que j’en parle dix ans après. J’ai commencé par parler de sports d’hiver. Et c’est ce que je maîtrisais le moins. Et j’ai adoré ça. Finalement me plonger dans ce milieu-là, ça m’a fait du bien. Mine de rien, l’école Eurosport nous apprend à toucher à tout, à nous habituer à tout. J’ai fait ensuite une émission dans laquelle je me suis bien retrouvée et dans laquelle j’étais très heureuse : le Forum l’Equipe. Il y avait un invité par semaine. Et là on peut dire que c’est l’épanouissement dans cette émission. Puis à BeIn, on passe d’un niveau. C’est les retrouvailles avec le basket que je n’avais jamais vraiment côtoyé finalement. Jamais je n’aurais pensé un jour travailler avec Jacques Monclar (rires). »

BR : J’en reviens à votre travail. Cette année, vous avez pu vivre l’Euroligue avec le CSP Limoges avec une ambiance de feu à Beaublanc en faisant les directs d’avant-match. Quel souvenir gardez-vous de votre prise d’antenne à Beaublanc où les supporters étaient chauds bouillant ?

MP : C’était génial. Moi qui ai grandi en regardant Limoges porter un trophée, j’allais enfin à Beaublanc. Franchement c’est une superbe ville, un club très chaleureux, très accueillant. Il y a une ambiance de dingue. C’est vraiment le basket comme on l’imagine en France. Sur le plan sportif, ça ne s’est pas bien passé comme on le voulait. En plus de Limoges, même avec Nanterre, on a été verni car on a eu des ambiances formidables l’année dernière avec la JSF en Euroligue.

BR : Nanterre aussi donc, c’était bien.

MP : Ah oui. Nanterre, c’était génial à la Halle Carpentier. Après on est journaliste, on devrait être objectif mais on est très attaché aux équipes qu’on suit. On a suivi Strasbourg aussi l’an dernier. On a tellement envie qu’un club français aille au Top 16 de l’Euroligue. Et on est tellement bien accueilli à chaque fois pour faire notre travail qu’on pense que tout est du bon côté pour que ça passe.

BR : Limoges en number 1 pour aller au Top 16 ?

MP : Non pas de number 1. Peu importe. Je constate juste que c’est des clubs qui se donnent énormément de mal pour passer ce cap et que ces clubs français attendent depuis longtemps.

BR : Il y a quelques semaines, les téléspectateurs ont pu voir une interview de 45 minutes avec Tony Parker sur BeIn en présence de Jacques Monclar. Vous avez donc été chez lui au Texas.

MP : Ouai (sourire).

BR : Vous avez donc découvert le Texas. Quel souvenir gardez-vous de ce passage dans cet Etat ?

MP : Ouai j’ai découvert le Texas. Franchement, en quatre jours, j’ai vécu quelque chose d’incroyable. Je suis allé aux San Antonio Spurs qui sont champion NBA en titre. On est allé voir un match. Puis on est allé voir Tony Parker chez lui. Il a eu cette gentillesse et il nous a faits confiance par rapport à cette interview. On s’est rendu compte que la NBA, ce n’était pas si inaccessible que ça.

BR : Surtout avec Tony Parker, c’est plus facile.

MP : Non mais même, Jacques Monclar est une personne très connue à San Antonio. Ca fait deux années de suite qu’il va là-bas pour les Finales NBA. Jacques est quand même connu partout. On laisse très facilement les journalistes travailler en NBA. Une fois qu’on dit oui, il y a aucun problème.

BR : En effet, on voit même les journalistes pénétrer dans les vestiaires des équipes.

MP : Voilà.

BR : En février 2014, lors de notre premier entretien par téléphone, vous m’avez précisé que Tony vous avait battu dans un concours de lancers-francs avec humiliation. Depuis, avez-vous pris votre revanche chez lui sur son terrain de basket ?

MP : Oui, mais je n’ai pas osé relancer le défi cette fois-ci. Sinon je l’aurais mis dans la vidéo.

BR : Il a des paniers chez lui. On les voit dans les images de l’interview.

MP : Eh ouai, j’ai joué d’ailleurs pendant qu’il allait se faire masser. On a eu une petite pause pendant l’interview. On a fait quelques shoots sur son panier. J’ai joué donc chez Tony Parker.

BR : Vous n’avez donc pas fait de concours de tirs avec lui ?

MP : Non, en plus il allait se préparer et commencer les playoffs. Je ne voulais pas. J’aurais dû.

BR : Et c’est là que Tony se blesse pendant le concours (rires).

MP : Voilà c’est ça (rires).

BR : Donc pendant votre passage à San Antonio, vous avez découvert la salle de l’AT&T Center. Quelles ont été vos impressions en y mettant les pieds ?

MP : C’est très familial. On sent vraiment que c’est le rendez-vous de la ville. Toute la ville se donne rendez-vous pour y aller. On se rend pas compte à quel point Tony Parker est une véritable star. Tout le monde a un maillot Parker. On ressent vraiment cette impression qu’il est connu aux Etats-Unis et il est très connu. C’est une superbe ambiance. La mascotte, le coyote est une vraie star. C’est vraiment une bonne soirée qu’on passe là-bas à la fois pour regarder un match de basket mais aussi ce qui se passe autour. Dans un match NBA, il se passe plein de choses. C’est bon enfant. Je le conseille.

BR : A part San Antonio, avez-vous vu d’autres salles NBA sur place ?

MP : Je suis allé à Boston une fois c’était vraiment différent le TD Garden. C’est plus vieillot. Comme le répète Jacques Monclar, il y a un basket à l’Est et un autre à l’Ouest.

Retrouvez vendredi la seconde partie de notre entretien. Mary Patrux nous a parlé notamment de Stephen Curry, son chouchou mais également de l’émission NBA Extra qu’elle anime avec sa formidable équipe qu’il entoure.  En attendant, vous pouvez :

 Montage Une : Clément Demontoux

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About Richard Sengmany (354 Articles)
Découvrant le basket dans les années 90 grâce à la diffusion des matchs NBA sur Canal+, je rédige depuis plus de dix ans des articles sur la balle orange, sur d'autres disciplines sportives et la culture.

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